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Editions du Septénaire
eLibrairie Spiritualité Gnose Hermétisme

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Le Chemin pour aller à Christ

de

28.50

Jaco Boehme – Editions Archè –

Les traités qui composent ce livre furent rédigés par Boehme à la fin de sa vie, dans les années 1623-1624 (certains auteurs datent de 1622, au moins l’un d’entre eux). 

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UGS 9788872522595 Catégories , , Éditeur

Informations complémentaires

Poids 0.376 kg

Ce livre – on ne sait quel(s) traité(s) précisément – provoqua le deuxième et dernier exil de son auteur. Celui-ci, qualifié par le Conseil municipal de Görlitz du 26 mars 1624 de « fourvoyé fantasque et enthousiaste Jacob Boehme », fut, paraît-il, tout spécialement persécuté par le pastor primarius Gregor Richter, son ennemi personnel, qu’il désigne à son tour comme « le suprême pharisien » (lettre de Boehme du 6 avril 1624 à Sigismund Schweinitz, éd. Schiebler, VII, p. 583).

Cette édition reprend la traduction française publiée à Berlin en 1722 par Gotthard Schlechtiger. C’est l’un des rares textes de Jacob Boehme que Saint-Martin ait pu lire sans avoir à le traduire. Dans l’édition des Sämmtliche Werke, donnée par Schiebler, le traité « De la vraye Repentance » (De Poenitentia) porte la date du 9 février 1623 (p. 76). Le traité « De la Regeneration » (Von der Wiedergeburt) est sans doute de 1623 ou plus probablement de 1624 vu le ton conclusif et récapitulatif que Boehme y emploie quasiment avec l’attitude de celui qui se prépare à affronter un jugement ; en outre, y est cité le Mysterium Magnum qui est de 1623. Le traité « Entretien d’une âme illuminée avec une autre qui n’est pas illuminée » porte la date de 1624 et est analogue, à plusieurs égards, au « Dialogue de la Vie supersensuelle ». Quant au traité « De la sainte Prière » l’édition Schiebler, la plus accréditée et la plus complète, porte ces lignes au bas de la page de titre : « ce bref livre de prières, ainsi que d’autres ouvrages, Boehme ne l’a pas achevé car le 18 novembre 1624, le sixième dimanche après la Trinité, a quitté ce monde cri prononçant ces mots : maintenant Je m’en vais au paradis ». Ce fut peu après son retour à Görlitz.

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